Le bateau ivre di Arthur Rimbaud. Testo originale e versioni in italiano e inglese (traduzione) ~ di Barbara Carle - TECLAXXI

 

TRADUZIONE

 

Barbara Carle

 

Le bateau ivre di Arthur Rimbaud

Testo originale e versioni in italiano e inglese

 

 

 immagine creata con l'IA

Che cosa e come racconta Le bateau ivre?

 

Le bateau ivre (1871), è un poemetto che narra una partenza vissuta come una forte rottura, una liberazione dalle convenzioni e dalle restrizioni, l’ebbrezza visionaria della fantasia, poi un ritorno a una nuova e diversa condizione rispetto all’inizio.  Il testo di Rimbaud è composto di 25 quartine in alexandrins con una rima più o meno regolare, salvo alcuni casi di assonanza (come “zones/jaunes”). Sono cento versi per l’esattezza. La dimensione visionaria di questa poesia è stata ampiamente studiata, forse meno quella giocosa. Infatti, il titolo gioca con il nome dell’autore. Si tratta di un gioco di omofoni e paronimi tra Arthur e auteur (autore), e Rimbaud e bateau, dove la seconda sillaba: “aud” e “eau” sono omofoni che ci rimandano all’acqua. Notiamo gli allungamenti vocalici, le occlusive (b, d, t) e le vibranti: le tre “r” di Arthur Rimbaud si concentrano in quella di “ivre”. Tali suoni evocano il movimento, il flusso, l’erranza libera. Non dimentichiamo il gioco tra “ivre” e “livre” che scatta dal titolo e il nome dell’autoreà Arthur, auteur, livre, ivre. L’ebbrezza della barca è quella di tutti i sensi che vengono esplorati attraverso il “racconto” in “prima persona” della barca: bateau-Rimbaud.

 

Perché proporre nuove versioni de Le bateau ivre di Arthur Rimbaud?

 

Il lettore troverà qui una versione in italiano e una in inglese del “Poème de la mer” vale a dire Le bateau ivre di Rimbaud. Queste versioni sono in cantiere da più o meno sei anni. All’inizio ho voluto fare un adattamento essenziale in italiano e una versione più “fedele” in inglese. Alla fine, ho fatto due traduzioni diverse seguendo la natura delle lingue di arrivo. Ho lavorato facendo un confronto tra l’italiano e l’inglese cercando di sfruttare le qualità di ogni lingua, rinforzando quello che ognuna poteva dare in paragone con l’altra. In passato ho lavorato con un collega sinologo a un’antologia di poesia classica cinese in tre lingue, l’originale cinese, l’inglese e l’italiano per ingrandire la portata dei significati presenti nel testo di partenza. Visto che la traduzione può anche restringere la portata evocativa della poesia, offrire più di una versione è un modo di aprire l’interpretazione invece di chiuderla. Il mio lavoro è frutto di un confronto continuo e prolungato tra le lingue attraverso il tempo

 

Che tipo di traduzioni sono proposte?

 

Solo dopo essere arrivata a delle versioni elaborate mi sono permessa di leggere altre: non volevo essere troppo condizionata da versioni precedenti. La versione italiana potrebbe rientrare nelle categorie di Antoine Berman che distinse note tendenze traduttive (come allungare, chiarire, spiegare e così via. Ho scritto altrove su questo e non vorrei ripetermi. Si veda la breve bibliografia alla fine). In italiano le strofe non sono sempre quartine -- a volte debordano in cinque o sei versi, ma non per “spiegare” bensì per conservare il verso. Rimbaud ha scelto i famosi alexandrins di 12 sillabe che si distinguono nettamente dall’endecasillabo classico italiano ma che si possono trasferire in versi sciolti di 11 o in rari casi di 12 sillabe. Mentre in inglese, a causa della natura stessa della lingua, ho mantenuto la quartina e un verso che consuona con il pentametro giambico, ma non ho tentato la rima. Ho preferito sostituirla con assonanze o quasi rime. Ho cercato di tradurre procedendo da una [unità di] stanza o da un verso all’altro, non parola per parola ovviamente. Questo non significa che non ho tenuto le parole chiave. Quando era possibile senza rallentare il flusso della poesia, ho mantenuto la loro posizione (all’inizio o alla fine di un verso per esempio). Nei due casi ho cercato di conservare lo slancio ininterrotto del movimento di Rimbaud.

 

 

 

 

Arthur Rimbaud

Le bateau ivre

 

Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.

 

J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.

 

Dans les clapotements furieux des marées
Moi l'autre hiver plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.

 

La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'œil niais des falots !

 

Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin

 

Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;

 

Où, teignant tout à coup les bleuités, délires 
Et rythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l’amour !

 

Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : Je sais le soir,
L'aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelque fois ce que l'homme a cru voir !

 

J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !

J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !

 

J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !

 

J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !

 

J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eau au milieu des bonaces,
Et les lointains vers les gouffres cataractant !

 

Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns 
Où les serpents géants dévorés de punaises 
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !

 

J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants. 
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.

 

Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes 
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...

 

Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds 
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles 
Des noyés descendaient dormir, à reculons !

 

Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d’eau ;


 

 

Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur,

 

Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques 
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;

 

Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !

 

J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fond que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?

 

Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !

 

Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé 
Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.

 

Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, 
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.

 


 

Arthur Rimbaud

La barca ebbra

[versione italiana di Barbara Carle]

 

 

Mentre scendevo fiumi impassibili

d’un tratto persi i miei alatori

li fecero bersagli i Pellerossa

chiodandoli nudi in pali di colori.

 

Ero incurante degli equipaggi

se portavo grano olandese o cotone.

Quando terminarono l’abbordaggio

con i fiumi scesi dove volevo.

 

Nei furiosi sciabordii invernali

dei flussi, sorda mente infantile

corsi! E le penisole salpate

non subirono caos più trionfante.

 

La tempesta benedisse i risvegli

nautici, più lieve di un tappo danzai

sulle onde che voltavano eterne

vittime; in dieci notti mai rimpiansi

quell’occhio tonto dei lanternoni.

 

Dolce ai bimbi quanto la polpa soda

di mele, l’acqua verde mi penetrò

lo scafo e delle macchie di vinello

e di vomito mi lavò stordendo

il mio timone e il mio grappino.

 

Allora nuotai nella Poesia

del Mare, infusa di astri, lattea

divorando azzurri verdi dove

a volte scende un naufrago pensoso

livido galleggiamento rapito

 

tingendo dal nulla in turchini deliri

e lenti ritmi nei bagliori al giorno

più forti dell’alcol, più vasti della lira

fervono gli agri ardori dell’amore!

 

Conosco i cieli implosi in lampi, piogge

risacche e correnti, la sera, l’Alba

esaltata abitata da colombe.

E qualche volta ho anche visto quello

che l’uomo ha creduto di vedere.

 

Vidi il sole basso tinto di orrori

mistici chiarire in lunghe fissità

viola, come attori dei drammi antichi

e le onde curvarsi al largo in fremiti

chiudendosi come delle persiane!

 

Sognai la notte verde al baleno

delle nevi, un bacio che saliva

agli occhi dei mari con lentezza

il fluire delle linfe inaudite

lo svegliarsi del giallo e dell’azzurro

dei fosfori dal canto melodioso!                  

 

Per mesi seguii come porcherie

isteriche, assalti ondosi agli atolli

senza sognare che i chiari piedi

delle Marie spingessero giù

i bolsi musi oceanici!

 

Mi imbattei in meravigliose Floride

mischiando fiori a occhi di pantera

con pelle umana! Arcobaleni tesero

briglie sotto il mare glauco dei greggi!

 

Vidi vaste paludi bollire, nasse

dove marcisce un Leviatano!

Crolli d’acqua in piena bonaccia

e le distanze cascare in abissi!

 

Ghiacciai, soli d’argento, onde di perla

cieli di brace! Atroci sconfitte

in fondo ai golfi oscuri dove insetti

sbranano enormi serpi che piombano

da alberi storti con neri olezzi!

 

Volevo mostrare ai bimbi la orata

dei flutti blu, pesce oro del canto.

Fiori in schiuma cullavano il salpare

l’ineffabile aria mi prestava ali.


 

 

 

Martire a volte, lasciato dai poli

e dalle zone, il pianto del mare

mi cullava mi offriva fiori ombrosi

dalle ventose gialle, e rimanevo

come una donna in ginocchio...

 

Penisola, balzavo sui bordi le liti

e il guano di uccelli dagli occhi biondi

galleggiavo mentre mi trapassavano

gli annegati che scendevano al sonno

rovesciati!

 

E io perso sotto i capelli

delle baie, gettato dall’uragano

nell’etere senza uccelli, nessun

monitore né veliero anseatico

avrebbe mai ripescato di buon grado

la mia carcassa ebbra di acqua.

 

Libero, furente, aizzato da brume

viola, io trafissi il rossore celeste

come un muro che offre, marmellata

squisita, ai buoni poeti, licheni

di sole e mocci d’azzurro,

io correvo,

 

tinto di lunule elettriche

plancia impazzita sotto la scorta

di ippocampi neri quando il luglio

a colpi di mazza abbassò i cieli

ultramarini a imbuto ardente;

 

correvo, tremavo ai calori

uditi da lontano, dei Behemoth,

ai fitti Maelstrom, filatore eterno

di immobilità blu, io rimpiango

l’Europa degli antichi parapetti!

 

Vidi arcipelaghi siderei, isole

di folli cieli aperti al rematore:

è possibile che in queste notti

senza fondo tu dormi e ti esili, 

milione di uccelli d’oro, o futuro

Vigore?

 

 

 

Piansi troppo! Le albe turbano.

Ogni luna è atroce, ogni sole amaro:

l’aspro amore mi intorbidisce

Scoppi la mia chiglia, che vada in mare!

 

Se desidero un’acqua di Europa

è la pozza buia e fredda di sera

dove il bambino triste si china

lancia una barca, una farfalla di maggio.

 

O flutti, io non posso più, intriso

di languori, navigare nei solchi

dei carichi di cotone, non posso

più varcare l’orgoglio dei vessilli

né nuotare ancora sotto gli occhi

orribili di tutti quei pontili.

 

 

 

Arthur Rimbaud

The Inebriated Boat

[English version by Barbara Carle]

 

As I descended impassive rivers

I was no longer guided by the haulers:

screaming red skins made them targets

nailing them naked to the mast of colors.

 

It didn’t matter at all to me if the crew

was bearing Flemish wheat or British cotton.

When the haulers’ tumult came to an end

the rivers let me flow wherever I wished.

 

In the other Winter’s furious lapping

of tides, deafer than a child’s mind,

I ran! And the unmoored peninsulas

never knew a more triumphant commotion.

 

The storm blessed nautical awakenings

lighter than a cork I danced on the waves

we call eternal rollers of victims, for ten nights

I never missed the gawking lanterns!

 

Gentler than sure apple flesh for children

the green water penetrated my fir hull

washing away stains of sour wines and vomit

disorienting my rudder and grapple.

 

Then I swam in the Poem of the sea,

infused with stars and milky, devouring

green blues; the pale enraptured waterline

where the pensive drowned at times descend;

 

where all at once, tinting in blueness, ravings

and slow rhythms amidst flashes of day

stronger than alcohol, vaster than our lyres

the bitter reds of love were fermenting!

 

I know the skies’ lightning bursts, the downpours

the undertows, the currents, I know the evening

and the Dawn exalted like a people of doves

at times I have seen what a man can see!


 

 

I saw the low sun, stained by mystical horrors

brighten with lengthy purple fixtures--

like actors of ancient dramas – distant

breakers rolling their shutterish shivers!

 

I dreamt the green night of dazzling snow

kiss rising to sea eyes with slowness

the circulation of unheard sap and the yellow

and blue awakening of singing phosphorus!

 

For months I followed, like hysterical

herds, the swell assaulting coral reefs

without dreaming the bright feet of Marias

could force the muzzles of panting Oceans!

 

Know that I crashed into wondrous Floridas

mingling the flowers of panther eyes with human

skin! Rainbows arched like bridles beneath

sea horizons toward glaucous flocks!

 

I saw vast marshes ferment, fish traps

where a Leviathan rotted in the reeds!

Water collapse in the midst of calm

distances cataracting into the abyss!

 

Glaciers, silver suns, pearl waves, ember skies

hideous failures in the depths of dark bays

where giant serpents devoured by bugs

fell from twisted trees with black perfumes!

 

I wanted to show the children seabreams

in blue waves, those fish of gold, singing fish.

The foam of flowers rocked my undockings

at moments ineffable winds gave me wings.

 

At times, martyr deserted by the poles and zones,

the sea whose sobbing softly rolled me, raised

shadow flowers like riviera spurges

for me I stayed like a woman on her knees...

 

Half-island, bouncing on my sides the quarrels

and droppings of whining blond eyed birds

I floated -- when through my frail bonds--

backwards-- the drowned plunged to sleep!


 

And I, lost boat beneath the cove’s hair

cast into the birdless ether by the hurricane

I whose water drunk carcass the Monitors

and merchant-ships won’t fish out;

 

Free, fuming, riled by violet mists

I who pierced the reddening sky like a wall,

I who bring exquisite jam to good poets

lichens of sun and mucus of blueness

 

who ran tinged with electric crescents

a crazy board escorted by black hippocamps

when cudgel blow Julys collapsed

ultramarine skies with burning funnels;

 

I who trembled as I heard fifty leagues away

the rutting Behemoths and dense Maelstroms,

eternal weaver of blue immobilities

I miss the old parapets of Europe!

 

I saw sidereal archipelagos and islands

whose mad skies are open to the rower:

Do you sleep exiling yourself in these endless

nights, million birds of gold, future Vitality?

 

But I’ve cried too much! Dawns are daunting

each moon is atrocious, each sun bitter.

Acrid love swelled me with dazed torpors.

Oh may my keel explode! Or may I go to sea!

 

If I wish for Europe’s water, it’s the dark

cold pool where at fragrant dusk a child

full of sadness bends over, releasing

a boat, fragile as a butterfly in May.

 

Oh waves, drenched in your lull, I can no longer

cast off through the wakes of cotton bearers

nor share the pride of banners and flames

nor swim past those horrid pontoon gazes.

 

 Breve bibliografia

 

Rimbaud, Œuvres poétiques, Garnier Flammarion, 1964.

Rimbaud, Le bateau ivre [Il battello ubriaco, poema di geografia immaginaria, 1871] Celati, Gianni in Elephant & Castle, Diluvi, n. 1, 2010.

Il battello ebbro, a cura di Ornella Tajani, DieciXuno – una poesia dieci traduzioni, Mucchi Editore, 2019.

Calvino, Italo, L’italiano, una lingua tra le altre lingue in Una pietra sopra, Oscar Mondadori, 2017, 147.

Carle, Barbara, On Translating: From Antoine Berman to Antonia Pozzi in Binding the Lands Present Day Poets Present Day Poetry. Proceedings of the Third Annual Symposium of IPSA (Italian Poetry Society of America) New York, November 11-13, 1999. Edited by Alessandro Carrera and Alessandro Vettori, The New Jersey Institute of Italian and Italian American Heritage Studies. Edizioni Cadmo, 2004: 231-236. (Ristampa, l’articolo fu pubblicato per la prima volta nella rivista Polytext)

Carle Barbara, From Literary Translation to Creative Writing; Practitioner Perspective:

 https://teclarivistaonline.blogspot.com/2024/06/from-literary-translation-to-creative.html

 Tra il cielo e la terra. Poesie nel cinese classico, in inglese e italiano. A cura di Barbara Carle e Curtis Dean Smith. La vita felice, 2017, 2019.

BARBARA CARLE 



BIONOTA Barbara Carle poeta, traduttore e critico. È italianista emerita all'Università statale della California a Sacramento. Ha pubblicato diversi libri di poesia bilingue e un libro di poesia e prosa in italiano. Ha tradotto molti poeti dall'italiano all'inglese e dall'inglese all'italiano.



 

 

 

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